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Warm Up
TSUGI
Rétronomie • Qui faisait sensation il y a dix ans dans nos pages ? Qui publiait des disques incontournables ? Coup d’œil dans le rétro avec des extraits de Tsugi 81 (avril 2015), garantis 100 % vintage.
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En partenariat avec Tsugi • Le printemps des festivals commence à prendre de l’ampleur. En avant-première, quatre événements pour bien profiter de la saison. Avec toujours des invitations à gagner sur tsugi.fr
Déjà demain
Les inspirations de… OSCAR JEROME • Notre coup de cœur pour ce guitariste-chanteur londonien date de son album précédent The Spoon, sorti en 2022. Son nouveau disque, The Fork, subtil mix entre jazz, soul, hip-hop, vient confirmer toute la personnalité fascinante de celui qui a tenu aussi la guitare chez Korokoko. Raison de plus pour découvrir ce qui l’inspire.
Le nouvel âge d’or de la drum’n’bass • « Junglist massive », chantait General Levy sur le premier tube du genre, « Incredible », en 1994. Trente ans plus tard, le refrain n’a jamais semblé aussi pertinent. La jungle, devenue drum’n’bass, connaît une phase de popularité sans précédent, amorcée depuis deux ou trois ans. Musique de passionnés et de puristes, très britannique, parfois ostracisée, elle est en passe de conquérir enfin les États-Unis, le monde, et peut-être même la France.
Timeless, 30 ans et toutes ses dents (en or) • Le 7 août 1995, un fantasque producteur britannique du nom de Goldie sort son premier album : Timeless. Ce double disque, marqué par le single « Inner City Life » et l’utilisation de la technique du time‑stretching, devait sortir la drum’n’bass de l’underground en la propulsant dans la lumière. Mission accomplie : trois décennies plus tard, son statut de galette culte ne s’est jamais démenti.
5 années qui ont changé la drum’n’bass • Entre 1995 et 2000, la drum’n’bass a connu un âge d’or insensé avec la publication d’albums ambitieux, parfois trop, mais qui ont ouvert les frontières d’un genre jusque‑là réservé à l’underground et au dancefloor. Dix disques indispensables à (re)découvrir.
Black Country, Le goût des autres New Road • Présenté comme l’un des meilleurs groupes anglais contemporains depuis son premier album sorti en 2021, Black Country, New Road est de retour avec Forever Howlong. Des bancs du lycée de Cambridge à Londres, le groupe a beaucoup changé après le départ de son chanteur il y a trois ans, et opte désormais pour une approche collégiale autour du noyau, toujours pas si petit, de six musiciens, ou plutôt de six amis. Une formule particulière qu’ils entendent conserver.
Le bruit Benefits du monde • Sur Nails, brûlot sorti en 2023, le duo de noise-punk Benefits vilipendait l’austérité et les « fascistes de dessin animé ». Deux ans plus tard, la sortie de Constant Noise ne s’est pas faite dans un contexte plus enjoué. Le parolier et leader Kingsley Hall s’en explique. Le machiniste Robbie Major aussi. Mais beaucoup moins.
Survivre en électron libre L’économie fragile des labels indépendants • Avoir un label de musique indépendant en 2025 relève-t-il d’un pari audacieux ? À en croire Cracki, Frappé, Nadsat et Vahana, quatre labels indépendants spécialisés notamment dans la musique électronique française, la réponse s’avère plus complexe. Il ne s’agit pas tant de bâtir un empire financier que de défendre une vision artistique, quitte à jongler, souvent, avec des modèles économiques précaires.
Antony Szmierek Le Mike Skinner des années 2020 ? • Avec ses lyrics nés dans la working class anglaise et ses productions éblouies par les néons de clubs humides du nord de l’Angleterre, il est difficile de ne pas présenter...